Li, Q. et al. Effects of forest bathing (shinrin-yoku) on levels of cortisol as a stress biomarker: a systematic review and meta-analysis. International Journal of Environmental Research and Public Health (2019). PubMed+1
Observation : Résultat principal : les niveaux de cortisol salivaire ont été significativement plus bas dans les groupes « forêt » que dans les groupes « urbains ». PubMed+1. Néanmoins, l’effet quantitatif (- % précis) varie selon l’étude.
Park, B.-J., Tsunetsugu, Y., Park, H., et al. The physiological effects of Shinrin-yoku (taking in the forest atmosphere or forest bathing): evidence from field experiments in 24 forests across Japan. Environmental Health and Preventive Medicine (2010). PMC+1
Observation : Exposition d’environ 16 ± 5 minutes de marche + 14±2 minutes de vision directe de la forêt. Résultats : diminution de cortisol salivaire par rapport au milieu urbain. PMC
Kobayashi, H., Song, C., Ikei, H., Katsumata, M., Hirata, Y., Yoshifumi, M. Combined effect of walking and forest environment on salivary cortisol concentration. Environmental Health and Preventive Medicine (2017). PMC
Observation : Marche en forêt (versus contexte urbain) : diminution significative des concentrations de cortisol salivaire (p < 0.001) pour le groupe « forêt ». PMC
McDonnell, A. S., et al. Immersion in nature enhances neural indices of executive attention. Scientific Reports (2024). Nature+1
Observation : Étude randomisée contrôlée (N = 92) : marche de 40 minutes en nature vs en milieu urbain. Résultat : le groupe « nature » a montré une amplitude accrue de l’{event-related negativity} (ERN), un index neuronal de la capacité de contrôle exécutif. Nature
Atchley, R. A., Strayer, D. L., Atchley, P. Creativity in the wild: improving creative reasoning through immersion in natural settings. PLOS ONE (2012). PLOS
Observation : Immersion prolongée (4-5 jours) en environnement naturel sans technologie : augmentation de + 50 % de la performance à un test créatif (« Alternate Uses Task ») comparée à un groupe contrôle en milieu urbain.
Bourrier, S.-C., et al. Cognitive strategies and natural environments interact in influencing executive functioning. Frontiers in Psychology (2018). Frontiers
Observation : Bourrier et al. montrent que l’exposition à une vidéo de nature (vs urbain) entraîne une influence directe sur les processus exécutifs, notamment une interaction entre l’environnement et les stratégies cognitives.
Promoting Healthy Decision‑Making via Natural Environments (Berry et al., 2020) : étude qui montre que les environnements naturels peuvent améliorer la prise de décision saine. PMC
Effects of nature on restorative and cognitive benefits in indoor environment (Rhee et al., 2023) : participants exposés à des environnements contenant des éléments naturels (végétation, ciel) pendant 5 minutes ont montré une amélioration de la mémoire de travail et des indices EEG de cognition. ResearchGate
Interacting with Nature Improves Cognition and Affect for Individuals … (Berman et al., 2013) : marche en nature même en situation de rumination· montre des bénéfices cognitifs et affectifs. PMC
Observation : Ces études soutiennent bien que « quelques minutes par jour en nature » peuvent suffire à améliorer certains processus cognitifs et décisionnels. Elles ne lient pas toutes explicitement « leadership stratégique », mais l’analogie est plausible.
Go out or stress out? Exploring nature connectedness and resilience (Wullenkord et al., 2024) : étude sur la « nature connectedness » comme facteur de résilience face aux stresseurs cumulés. ScienceDirect
Associations between Nature Exposure and Health: A Review of the Last Decade (2021) : revue narrative qui montre que l’exposition à la nature est associée à de meilleures fonctions cognitives et de santé mentale (éléments de résilience). PMC
Observation : Ces références établissent une association entre contact avec la nature et meilleure tolérance à l’incertitude/stress — ce qui cadre bien avec « résilience face à la complexité et l’incertitude ».
L’article de la Mayo Clinic indique que passer du temps en nature améliore l’humeur, réduit l’anxiété et améliore la cognition et la mémoire. Mayo Clinic McPress
Nature Exposure and Subjective Well‑Being: The Mediating Roles of Connectedness to Nature and Awe (Zhou et al., 2025) : montre que l’exposition à la nature est corrélée à une vitalité accrue et un bien-être subjectif via les émotions d’émerveillement et la connexion à la nature. MDPI
Observation : Ces études soutiennent le lien entre nature et vitalité/qualité relationnelle, mais pas toujours sous la forme « dans les interactions importantes » ou « leadership ».